Les amazones de l’ex maire, ministre et DG de la Poste, Abdoulaye Bibi Baldé, réitèrent leur engagement derrière le président de la République Macky Sall. Mais également, par le biais de leur porte-parole Penda Baldé, elles estiment qu’il est temps de redonner un poste à leur leader Abdoulaye Bibi Baldé. Dans la foulée, elles n’ont pas manqué de rappeler les droits de la femme dans la société mais aussi de reconnaitre les avancées pour l’émancipation de celle-ci. Ainsi, elles ont fait cette annonce lors de leur célébration de la journée internationale de la femme ce samedi 11 mars 2023. Selon elles, aujourd’hui, il est important aujourd’hui que les femmes soient formées sur l’utilisation des nouvelles technologies dans le cadre de leurs activités économiques, mais également dans la prévention contre les manipulateurs.
Au cours de leurs activités, la thématique de la solidarité est revenue sur toutes les lèvres. C’est pourquoi, soutient Penda Baldé, « nous célébrons la journée internationale de la femme sous le signe de la solidarité, du partage et de l’amour de l’autre, voire de la tolérance. »
Dans la foulée, elle demande que le président de la République « revienne vers ses militants authentiques qui ont toujours gagné pour lui, en l’occurrence Abdoulaye Bibi Baldé. Je précise que nous sommes et seront toujours de l’APR car nous avons vu ce bébé naître. D’ailleurs, nous l’avons choyé et porté dans nos bras. Mieux nous l’avons vu grandir et propulsé jusqu’au sommet. »
Sans langue de bois, elle poursuit « nous voulons que le président redonne un poste de responsabilité à notre leader Abdoulaye Bibi Baldé pour qu’il ramène les plus sceptiques dans le parti. D’ailleurs, nous invitons le président de la République à ne pas se fier aux faux rapports faits sur notre leader. Il doit savoir que Abdoulaye Bibi Baldé a toujours gagné dans la région… »
Revenant sur le thème, elle ajoute : « on s’aligne sur le choix du thème fait cette année concernant cette journée. Ainsi, nous voulons que la femme soit plus reconsidérée avec à la clef des postes de responsabilité. En ce sens, nous voulons des formations dans le domaine de la technologie pour éviter de tomber dans le panneau des manipulateurs. Mieux encore, cette formation va nous permettre de valoriser nos produits et nos métiers pour notre épanouissement. Et cela va faire reculer la pauvreté, le chômage, entre autres. »
Dans cette dynamique, elle rappelle que « nous réclamons l’égalité des sexes entre homme-femme dans un monde où la femme n’est pas synonyme de « foyer ». Mais également que l’État prenne au sérieux les réclamations des femmes comme la parité, la criminalisation du viol, l’accès facile à la terre et à la mécanisation. À cela j’ajoute l’élimination de l’autorisation parentale qui fait souffrir beaucoup les femmes souvent soumises au diktat de l’homme… »
