Mamadou Sow (président de l’ODGAM Kolda) « Le président de l’ONGAM, Ousmane Iyane Thiam, n’a aucune Asc à Dakar… Il empêche les renouvellements en montant les uns contre les autres… »

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Suite au choix de l’Asc Kano au détriment de la Renaissance (championne) par de tierces personnes pour les phases nationales à Ziguinchor, l’ODGAM nie toute implication à ce sujet. 

L’ODGAM de Kolda a fait face à la presse pour éclairer la lanterne des amateurs sur ce choix qui « n’émane pas d’elle ». C’est pourquoi, Mamadou Sow et ses camarades « dégagent toute responsabilité sur ce choix et accuse le président de l’ONGAM, Ousmane Iyane Thiam,  de vouloir déstabiliser le mouvement pour se maintenir ».  

Mamadou Sow : « depuis 2017 le président de l’ONGAM Ousmane Iyane Thiam n’a aucune Asc à Dakar.  Il a perdu les 270 équipes (asc) dans la capitale. Maintenant, pour pouvoir se maintenir, il empêche les renouvellements en montant les uns contre les autres dans toutes les régions. Et malheureusement, c’est le cas à Kolda mais à Ziguinchor aussi avec l’Asc Lyndiane.  D’ailleurs, il est la source de toute cette histoire car il ne veut pas le renouvellement de l’ONGAM. C’est pourquoi, on cherche à mettre les bâtons dans les roues des structures légalement élues. » 

Dans la foulée, il précise :  « l’Asc Soweto, vice-championne des phases nationales, peine à rentrer dans ses fonds (un million de f cfa). Dans le même sens, on doit deux millions de francs cfa à un hôtel de Kolda. Et pourtant, nous avons mobilisé près de 16 millions pour ces phases nationales passées. Le président après mobilisation des fonds,  est venu les récupérer et il a disparu dans la nature. Il en a fait de même à Kolda et à Ziguinchor… » 

Le non choix de l’Asc Renaissance n’est lié ni de près ni de loin à l’ODGAM, selon lui. « Nous voulons apporter une clarification, car c’est l’équipe de la Renaissance, championne en titre, qui devait partir pour ce championnat et non le Kano. Et nous, en tant que responsables du mouvement, nous ne sommes pas derrière cette machination. C’est pourquoi, si nous gardons le silence, on est complice. Et la Renaissance doit être rétablie dans ses droits, sinon on va se faire entendre… »

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